Dans cette série évènement, les plus beaux sites du patrimoine français et européen dévoilent leurs secrets sauvages. Mont Saint-Michel, Châteaux de la Loire, Alhambra… Chaque année, ces écrins merveilleux attirent des touristes venus du monde entier. Mais à l’abri des regards, se joue une histoire fascinante et inattendue, celle de la faune qui peuple ces lieux et leurs alentours. Bien que sculptés et édifiés par la main de l’homme, ces hauts-lieux de notre patrimoine sont inscrits dans des espaces naturels et des écosystèmes particuliers, aux espèces emblématiques comme le Cerf de Chambord, la cigogne noire du Pont Bastei ou le phoque du Mont Saint-Michel…
Aujourd’hui, la préservation de ces sites d’exception ne peut plus se faire sans tenir compte de la faune sauvage. Et après plusieurs siècles où chacun s’est ignoré, ces deux univers se rejoignent enfin, pour montrer que le patrimoine naturel et historique peuvent devenir des alliés ! Au fil des quatre saisons, cette collection documentaire prestigieuse revisite les grands sites du patrimoine français et européen, sous l’angle de la faune sauvage qui les peuple, offrant ainsi un regard insolite, à poil, plumes ou écailles sur ces sites mythiques.

Imaginez un Royaume gouverné par trois clans ancestraux, trois familles régnant sans partage sur leurs terres. Au fil des millénaires, elles ont appris à soudoyer, manipuler ou asservir toutes les créatures de leur territoire : insectes, oiseaux, mammifères, sont devenus leurs vassaux…

Ces redoutables seigneurs, ce sont des Fleurs. Leur Royaume, le Cap des Tempêtes, à l’extrémité Sud de l’Afrique, là où la terre s’achève. Dans cette région sublime et hostile, toutes les stratégies sont bonnes pour survivre et s’imposer: occuper le terrain, voler l’eau ou la nourriture, étouffer l’adversaire, maîtriser le feu… Des combats insoupçonnables se livrent sur chaque centimètre carré, à la surface et sous la terre. Mais les fleurs sont aussi capables de patience, de résilience, d’altruisme… Un documentaire animalier spectaculaire où les fleurs ont le premier rôle.

Une histoire extraordinaire révélée par des nouvelles techniques de prises de vue et des animations 3D. Plus jamais vous ne regarderez les fleurs comme avant.

Au XXe siècle, les océans sont devenus de véritables champs de bataille et les grandes puissances mondiales ont construit des navires toujours plus performants, rapides, résistants, et puissamment armés… Pourtant, ces batailles de titans ont rarement été filmées et les épaves des géants vaincus gisent parfois à des centaines de mètres sous la surface des océans. Certains de ces monstres d’acier, devenus des musées ou des navires école, subsistent aux quatre coins de la planète. Coproduite en étroite collaboration avec le célèbre jeu vidéo World of Warships, cette deuxième saison nous entraîne sur les traces du Cuirassé Bismarck, des terribles U-boot allemands, des aventures extrêmes et méconnues des convois arctiques, et de l’épopée de la marine française durant la seconde guerre mondiale. En retraçant l’histoire de ces navires de légendes, et grâce au concours d’historiens, d’architectes navals, et de vétérans, cette série innovante, dotée d’images d’archives inédites et de modélisations 3D photo réalistes, nous plonge au cœur des batailles navales qui ont fait l’histoire.

Revenu en France depuis trente ans, le loup s’étend progressivement sur l’ensemble du territoire national et ses attaques répétées sur les troupeaux menacent le pastoralisme. Entre Gironde et Dordogne, dans la forêt de la Double, des dizaines d’éleveurs se sentent menacés. Ils font appel à Antoine Nochy, un ingénieur écologue spécialisé dans la cohabitation avec le prédateur.

En impliquant agriculteurs et scientifiques, ce « détective du sauvage » veut prouver la présence du loup dans la région, afin d’enclencher au plus vite un dispositif de protection soutenu par l’Etat, et ainsi éviter les premières attaques. Parce qu’il est convaincu que protéger le loup, c’est d’abord protéger les éleveurs, Nochy nous propose de faire de l’écologie pragmatique, en repensant notre rapport au sauvage, dans ce qu’il a de plus dur comme de plus beau.